Parce que je ne crois pas que cela soit déjà l’automne
Je te l’ai dit, dans la chaleur d’un soleil qui se lève en Afrique, j’aurais aimé t’embrasser le cou pour te dire bonjour. Je suis fou, je m’inquiète de cette folie, notre relation est Unreal. D’ailleurs, sans doute ne suis-je qu’un de tes nombreux partenaires de jeux. Mais bon, pourquoi s’en faire si c’est Unreal. Autant en profiter, tant que la bougie ne s’éteint pas, tant que personne ne se brûle.
Je m’amuse de me voir rêver, et de ne pouvoir dormir sans penser à toi, de toujours te guetter. Je sais que je guette une image. En vrai, il vaut mieux pour toi, pour moi, que jamais nous nous rencontrâmes. Au moins, mon coeur, isolé par les circonstances, trouve réconfort et le plaisir de battre à nouveau. Mes fantasmes vont vers toi. Je ne veux plus me retenir de dire que je t’aime. C’est un jeu heureusement, malheureusement. Profitons du temps présent. Je ne veux prendre en compte que ce qui me plaît chez toi. Et peut être t’aider à les percevoir aussi.
Post dédié à toi, mon ami de printemps, qui croit à l’automne, à un moment où les choses sont peut être déjà fanées.
Ps : tu ne sais malheureusement pas partager, alors écoute, je pense à toi.
Tags: amour, implicite, poésie, sensibilité