Apprendre la géographie…
dans la douleur.
Ce devait être facile
Ce fut un peu plus compliqué…
Et, arrivé à la Ciotat, au lieu d’aller chercher cette p***** de malles aux livres au chantier naval, je me suis retrouvé dans les embouteillages du port de plaisance… Et moi qui suis si sage, calme et souriant… il fallait me voir tempêter alors que l’aiguille de température de la voiture montait dangereusement. Et oui, quand ma voiture est trop à l’arrêt elle chauffe, et je ne vous raconte pas ce qu’elle fait quand elle est en plein cagnard, à côté d’une plage, alors que les voitures avancent à 2 à l’heure et que l’on ne peut même pas revenir sur ses pas… Je n’en change pas, car avec le prix du pétrole ce n’est peut être pas la peine de s’endetter pour 10 ans et si un jour j’arrive à être sur paris…
Enfin, j’ai eu le plaisir de revenir par Aix-en-Provence, que je situe mieux maintenant, et d’éviter les embouteillages de Marseille.
Bilan : départ à 14h, retour à 20h…
Note optimiste : j’ai bronzé dans la voiture
Note négative : je pèle !!!
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