30/03/09 8h (série : blog, temps T réalité)
Découverte de la météo du moral sur Facebook. C’est le premier smiley avec lequel on commence. Et c’est une bonne chose. Commencer avec la joie vous ne trouvez pas ? De toutes les manières, je pense que je l’utiliserai souvent celui là. Certes, parfois, on est grincheux, énervé, levé du mauvais pied, triste, mais bon il faut admettre que je suis dans la grande majorité des cas positif. Même si tout ne va pas toujours bien (notamment côté sentimental), il y a toujours moyen de trouver quelque chose de positif (côté santé, travail, amical, environnement…). Quand cela ne va pas, souvent il faut avancer pour que cela évolue.

Donc allez ! De nouveau emballé me voilà sur l’étalage. De nouveaux profils, j’explore le monde de la rencontre gay sur internet (je n’ai toujours pas trouvé un endroit meilleur que Ga pour établir mon blog) et y retrouve quelques mêmes têtes. Je vais maintenant devoir être connecté à trois sites en même temps… Des ongles malencontreux vont-ils percer le film plastique ? Il parait que c’est à cause de cela (version optimiste), que les bouchers de supermarchés doivent souvent réemballer. Mais à l’occasion, ils changent la date de péremption… Je n’ai pas encore succombé à la tentation de mentir sur mon âge.
Profitez, à votre bon coeur ! Je suis encore dans mes moments shojo à cause d’une relation (brève mais intense) qui m’a fait renouer avec la passion animée. Je viens de redécouvrir Maison Ikkoku. La série Juliette, je t’aime de mon enfance. Et il faut bien admettre que c’est un très bon animé qui n’a rien à envier aux modernes. On a malheureusement tendance à dénigrer ce qu’on a connu dans l’enfance pour essayer de nous prouver que nous sommes adulte. A décharge, voir les versions originales permet d’apporter un regard neuf sur une histoire, cette fois, non édulcorée et profitant au maximum de l’humour discret japonais. J’aime beaucoup la sensibilité, l’imagination et le symbolisme du générique de fin (j’en suis encore à la saison 1).
Donc il me reste une 100 taine d’épisodes à regarder avant de revenir au visionnage de films classiques français Noir et blanc ou aux autres séries américaines. Côté littérature, je n’accroche pour le moment pas à Lovecraft. Les nouvelles de Cthulhu, elles, ne m’emballent pas, même si pour le style il faut en avoir lu au moins une. J’ai perdu mon Aragon…