Dernière ballade
Au cours d’une randonnée, où j’ai évité des débris de carcasses de voitures brûlées et des chasseurs enragés, après une dizaine de kilomètres et près de 4 heures de marche (détours compris), je me suis retrouvé à escalader des rochers. Un sentier d’escalade sur le chemin d’une vieille chapelle.
Je passais sous les roches
Et je tombais sur des jardins.
Des arbres, une pancarte.
De grandes salles à ciel ouvert. Je suis passé dans une autre nommée « le Jardin ». Et tout d’un coup devant ses simples rochers. Je me suis demandé ce qu’avait du ressentir la première personne a être entrer ici. Personne, qui nous permet aujourd’hui de partager cet endroit grâce à cette piste, ces panneaux. Etait-ce voulu ? Un homme avait-il créer ces jardins pour un de ces amours ? Ou est-ce le hasard naturel ?
Progressant, je découvrais des dieux.
Des pierres bizarrement travaillée, striées, de grand lézards de pierre gardant le chemin.
Cette impression de passer dans un endroit sacré, vieux. Qu’ont pensé toutes ces personnes qui, à travers les siècles, y sont venues.
Nul besoin d’aller voir les îles de Pâques, des têtes sculptées par le vent, ou par les druides et après émousées par la pluie, recouvertes par la végétation.
Et c’est endroit m’a rappelé un autre endroit que j’ai visité. Ce lieu portait le nom magique de porte des fées.
Bizarrement, rien qu’à l’idée de rencontrer une porte des fées, l’imagination n’a cessé de me torturer tout le long de la promenade. Et je n’ai pas été déçu.
En s’approchant, on tombait presque dans le vide.
Mais le plus beau était une fois qu’on l’avait passée.
« Celui qui cherche la porte des fées, entre au pays des légendes, et, s’il la franchit, est assuré de se marier dans l’année »
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