Au lieu de compter les moutons
extrait des « Belles endormies » de Yasunari Kawabata « Le soir , avant de m’endormir, je ferme les yeux et j’essaye de compter les hommes par qui il ne me déplairait pas de me laisser embrasser. Je les compte sur mes doigts. C’est amusant. Et quand je n’arrive pas jusqu’à dix, je me sens abandonnée [...] Vous [...]